Au moment où le dialogue semble bloquer avec cette exigence de l’opposition, l’église catholique pense qu’il est raisonnable que la présidentielle soit priorisée. « C’est une coïncidence que nous défendons la même chose que l’opposition, à expliqué l’abbé Donatien Shole », le premier secrétaire permanent adjoint de la Conférence épiscopale nationale du Congo. « Nous savons que tous les scrutins sont constitutionnels mais le délai de la convocation de la présidentielle est clairement déterminé par la même constitution », ajoute-t-il.
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